Trois pays d’Amérique centrale redonnent un élan aux forces de gauche
Las fuerzas de izquierda cobran impulso en tres países centroamericanos
Cet article a été publié il y a plus de dix ans, certaines informations qu'il contient sont susceptibles d'être incomplètes/obsolètes.
L’étude réalisée par la Fondation allemande Friedrich Ebert sur les systèmes politiques en Amérique centrale aborde trois points :
– Les dernières élections au Costa Rica, au Salvador et au Honduras ont donné l’espoir d’une plus grande justice sociale et d’une démocratie davantage participative. Cependant ces élections n’ont pas permis un vrai ancrage à gauche des gouvernements d’Amérique centrale.
– La consolidation des groupes progressistes comme le Parti d’action citoyenne (PAC), le Front d’Ampleur (Frente Amplio), le Libre et le Front Farabundo Marti pour la Libération nationale (FMLN) démontrent que les électeurs sont maintenant plus jeunes, critiques, mieux informés et urbains. C’est la fin du système bi-partidaire au Costa Rica, où se perdent les électeurs du centre et au Honduras, où les deux partis de droite se confrontent pour la première fois à un parti progressiste d’opposition.
– Néanmoins, les perspectives sont moins optimistes pour les acteurs progressistes dans les autres pays d’Amérique centrale : au Panama, la période Martinelli est arrivée à sa fin, la direction du pays ayant été prise par un gouvernement conservateur-libéral. Et au Guatemala et au Nicaragua, il n’y a pas pu avoir un changement dans la sphère politique.
Consultez l’intégralité de l’article en espagnol sur le site de la Fondation Friedrich Ebert