Les combattants du FNL, la dernière rébellion du Burundi, ont déjà fait la paix avec la population et les militaires qu’ils ont combattus. Ce n’est pas le cas de leurs chefs, qui retardent l’application de l’accord de cessez-le-feu signé en 2006, surtout désireux d’obtenir plus de postes. Lire
Burundi : les combattants font la paix, pas leurs chefs
par Anaclet Hakizimana
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