Bien que Juan Orlando Hernández, ancien président, ait été reconnu coupable de trafic de drogue par un tribunal de New York, les États-Unis n’ont pas encore reconnu son rôle dans l’expansion du trafic de drogue, parrainé par l’État au Honduras. La guerre des Contras au Nicaragua, soutenue par les États-Unis, a entraîné une augmentation significative de l’aide militaire américaine et de la formation au Honduras. Ce financement a souvent renforcé directement le pouvoir des élites corrompues du narco.
Although Juan Orlando Hernández was convicted of drug trafficking in a New York court, the United States has yet to own up to its role in fostering state-sponsored drug trafficking in Honduras.
Si le Chiapas a été associé ces dernières semaines aux déclarations et rassemblements organisés par l’Armée zapatiste de libération nationale à l’occasion de son trentième anniversaire, d’autres événements, beaucoup moins réjouissants, ont aussi eu lieu dans la zone montagneuse de l’État.
L’irruption, aussi inédite que frappante, d’une bande de trafiquants de drogue dans les studios de TC Télévision n’est que le dernier chapitre d’une spirale de violence organisée qui dure depuis environ 5 ans.
Quelques pistes, pour comprendre comment, en quelques années, l’Équateur, un pays pacifique est devenu un territoire gouverné par le crime organisé.
Dans la Moskitia hondurienne, les autochtones ont depuis longtemps été la cible de violences et d’injustices dans le cadre de la lutte du gouvernement contre le trafic de drogue.
La consommation de qat est une caractéristique souvent stigmatisée de la société yéménite. Mâchées quotidiennement par une large partie la population, ces feuilles sont ailleurs dans le monde classées comme une drogue et le plus souvent interdites. Elles revêtent au Yémen une dimension politique et identitaire forte qui a trouvé, en temps de guerre et de pandémie Covid-19, de nouvelles dimensions.