Une tendance à la géopolitisation de la société civile africaine existe, qui repose sur cet entrelacs de passif (néo-)colonial non résolu, de sentiment d’aliénation politique et d’affinités électives avec des puissances alternatives.
Depuis le coup d’État du 26 juillet 2023, on découvre une société civile qui soutient inconditionnellement la junte militaire. A travers une alliance circonstancielle, la société civile et la junte essayent de justifier le coup d’État en dénonçant la présence des bases militaires étrangères, et en pointant la mauvaise gouvernance politique des régimes précédents et leurs difficultés à résoudre les problèmes d’insécurité.
Omar Benderra, économiste et analyste de la politique et l’économie algériennes, revient sur le coup d’Etat au Niger de juillet dernier, sur ses conséquences géopolitiques, notamment sur l’impact de cet événement dans les relations avec la France et avec l’Algérie.
Le Lac Tchad s’est considérablement asséché depuis le début des années 1970, jusqu’à faire à peine 2 000 km2, ce qui représente une diminution de plus de 90 % de sa surface.
Son assèchement contribue à perpétuer l’instabilité dans les pays de la région.
Depuis le début de l’année 2018, le mouvement Tournons La Page constate une remise en cause de l’exercice de certains droits péremptoirement consacrés par le Pacte International relatif aux droits civils et politiques ainsi que la Constitution du 25 novembre 2010 du Niger.