« Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés »
Cet article a été publié il y a plus de dix ans, certaines informations qu'il contient sont susceptibles d'être incomplètes/obsolètes.
En 2005, la France s’embrasait. 300 cités en périphérie du récit national et en marge de l’hexagone s’insurgeaient contre la dégradation de leur quotidien. Une presse nouvelle émergeait alors de ces zones. Elle est à l’agonie aujourd’hui. Pourtant, elle donne à voir une France nouvelle. La gauche va-t-elle l’enterrer ? Achever les embryons qui incarnent le monde de demain, c’est ça, le changement ?
Une tribune collective rédigée par Akli Alliouat, directeur de Kaïna TV, Anne Bocandé, rédactrice en chef de Afriscope, Moïse Gomis, fondateur et ex-directeur de radio HDR, Gabriel Gonnet, rédacteur en chef de Regards2banlieue, Farid Mebarki, président de Presse & Cité, Ahmed Nadjar, directeur de Med’in Marseille, Erwan Ruty, directeur de Ressources Urbaines, l’agence de presse des quartiers