La région de Mocoa se situe entre les montagnes andines et l’Amazonie colombienne, au cœur de l’un des plus importants bassins hydriques du pays. De nombreuses communautés autochtones, afrodescendantes, paysannes et de colons cohabitent sur ce territoire. La demande mondiale croissante de minerais pour la « décarbonation » met gravement en péril cette région, puisque des entreprises minières tentent d’étendre leurs sites d’extraction de cuivre.
María Álvarez Malvido est mexicaine et a étudié l’anthropologie sociale à l’Université autonome du Mexique. Elle se dit amoureuse des histoires, et c’est pour cela que le journalisme l’a toujours attirée. C’est aussi ce qui l’a amenée à se rapprocher, depuis le début de sa carrière, des actions de communication des radios communautaires.
Le pétrole restera sous terre. Suite au référendum du dimanche 20 août, les quelque 13 millions d’Équatoriens en ont décidé ainsi : le pays se passera de la manne financière que représente l’exploitation du Bloc 43, situé en grande partie dans le parc naturel de Yasuni et responsable de 12 % de la production nationale d’or noir du pays.
Les fourmis yuturi sont pacifiques, sauf si leur territoire est menacé. Cette espèce, également connue sous le nom de « conga », est considérée comme une guerrière par la culture kichwa, car elle n’autorise personne à entrer chez elle sans permission. C’est également ce qui est arrivé aux femmes de Serena, une communauté autochtone située sur les rives du fleuve Jatunyacu, sur le haut Río Napo, en Amazonie équatorienne.
Las hormigas yuturi son pacíficas hasta que su territorio se ve amenazado. La especie, también conocida como “conga”, es considerada una guerrera por la cultura indígena kichwa, pues se sabe que no permiten que nadie entre a su casa sin permiso. Lo mismo sucedió con las mujeres de Serena, comunidad indígena ubicada a orillas del río Jatunyacu, en el Alto Río Napo, en la Amazonía ecuatoriana.
Une enquête montre qu’il est nécessaire de prendre des mesures urgentes pour sauver 80 % de l’Amazonie d’ici à 2025. Déjà 20 % de ce territoire ont été transformés en totalité, 6% montre une importante dégradation et ont besoin d’une restauration, pendant que 33 % sont intacts et 41 % ont de faibles niveaux de dégradation qui ont besoin de protection.
Una investigación presentada por la Red Amazónica de Información Socioambiental Georreferenciada (Raisg) evidencia que es necesario tomar medidas urgentes para salvar el 80% de la Amazonía al 2025. El 20% de este territorio ya ha sido transformado en su totalidad, el 6% tiene una alta degradación y necesita restauración, mientras un 33% está intacto y 41% con bajos niveles de degradación que requieren protección. El análisis revela, además, que el reconocimiento de territorios indígenas ha sido trascendental para la Amazonía: solo el 4% de las hectáreas que pertenecen a estos ha sufrido transformaciones, a comparación del 33% afectado en lugares sin ese reconocimiento ni consideradas áreas protegidas